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BONNE ET HEUREUSE ANNEE 2016
Madame, Mademoiselle, Monsieur,
A l’aube de l’an nouveau, c’est du fond du cœur que je vous adresse tous mes vœux de santé, de bonheur et de prospérité pour 2016.
L’année qui vient de s’écouler a été marquée du double sceau des périls et de l’espérance.
Des périls car jamais notre pays n’avait été aussi durement frappé par des attentats aussi lâches qu’aveugles. Le 7 janvier à « Charlie Hebdo ». Le 21 août dans le Thalys qui roulait alors à hauteur de Oignies. Le 13 novembre dans les Xe et XIe arrondissements de Paris, au stade de France, sur les terrasses des cafés et restaurants « le Carillon », « le Petit Cambodge », « la Bonne Bière » et « la Belle Equipe ». Au « Bataclan » enfin. Au-delà de l’horreur, c’est l’échec des politiques de gauche comme de droite en matière de sécurité intérieure qui est apparu.
Dans notre région, cet échec est particulièrement palpable à Calais où une « jungle » de 6000 « migrants » s’est transformée en véritable ville, entretenant un phénomène que les pouvoirs publics sont visiblement incapables de gérer tandis que la pauvreté, le chômage et la misère frappent de plus en plus durement les départements du Nord et du Pas-de-Calais, mais aussi ceux de l’Aisne, de l’Oise et de la Somme.
Mais 2015 a aussi fait naître l’espoir.
L’espoir d’un changement sans lequel nulle amélioration n’est à attendre. Ce changement s’est mis en marche notamment au mois de décembre, à l’occasion des élections régionales.
Ainsi, le Front national a très largement confirmé sa position de premier parti politique de France, en dépassant les 6 820 000 voix à l’issue du deuxième tour. Même si dans notre Région Nord Pas-de-Calais Picardie, l’alternance avec le système UMPS n’a pas encore pu être réalisée, le résultat est extrêmement encourageant.
Il est encourageant d’abord car il est clairement apparu que l’opposition entre l’UMP et le PS n’existe plus, les états-majors de ces partis s’étant clairement « entendus » pour faire obstacle au Front national en conduisant une campagne politico médiatique sans précédent. Il est encourageant encore car le parti socialiste n’a plus aucun élu dans la nouvelle assemblée régionale après cette élection. Il est encourageant, enfin, car le Front national détient désormais près du tiers des sièges au Conseil régional, ce qui lui permettra d’intervenir très largement en faveur des habitants.
Demain se construit aujourd’hui. Le programme du Front national s’impose désormais même à ses adversaires. La notion de frontière est revenue dans le discours public. Même si elle n’est que symbolique, la déchéance de nationalité est portée par le Président de la République. Face au système UMPS dont les représentants ne se reconnaissent plus que des différences de « sensibilité », le Front national apparaît comme la seule alternative. Un nouvel espoir pour 2016.
André Murawski - 1er janvier 2016
Conseiller régional Nord Pas-de-Calais Picardie
Conseiller muniicpal d’Ostricourt
JE SIEGERAI AUX CÔTES DE MARINE LE PEN AU CONSEIL REGIONAL NORD PAS-DE-CALAIS PICARDIE
Les élections régionales des 6 et 13 décembre 2015 ont apporté un grand changement dans la nouvelle Région. En effet, non seulement le parti socialiste a perdu son hégémonie dans les départements du Nord et du Pas-de-Calais, mais il a même purement et simplement disparu de l'assemblée régionale. Pour quelle raison ? Au nom d'une menace tout simplement imaginaire !
La Voix du Nord - 14 décembre 2015
Cette situation inédite est aussi historique. Elle est historique car, en refusant de se maintenir au second tour de scrutin alors qu'ils en avaient la possibilité, les candidats socialistes ont délibérément choisi de laisser leurs électeurs sans aucun représentant dans une assemblée pourtant prévue pour l'expression du pluralisme des opinions. Ici, pas de référendum. Pas de consultation des adhérents et sympathisants. Pas de grand débat public. Le peuple de gauche est placé devant le fait accompli : Il ne sera pas représenté.
Là où certains parlent de trahison, je préfère voir des aveux. L'aveu de l'absence de véritable opposition entre le PS et l'UMP. L'aveu du peu de cas qui a été fait des convictions des électeurs de gauche. L'aveu que les calculs partisans l'emportent - et de loin - sur la sincérité des engagements des candidats du PS. L'aveu, enfin, qu'entre l'UMP et le PS, la différence n'est plus désormais qu'une question de " sensibilité. " L'UMPS existe bel et bien. Certains élus socialistes peuvent pousser la chansonnette. Ce sont eux qui devraient avoir honte.
Mais finalement, tout cela n'est-il pas logique ? Quelle différence au fond entre la gauche et la droite ? L'une comme l'autre appliquent la même politique, de façon plus ou moins prononcée, parce que leur politique est celle qui leur est dictée par la Commission européenne, organisme d'une Union à qui la classe politique UMPS a tout sacrifié depuis des décennies : l'indépendance nationale, l'identité de la France, la souveraineté de notre pays.
Si encore ces abandons successifs avaient amené la paix et la prospérité. Mais non. C'est tout le contraire que nous constatons. Le chômage est incompressible. La pauvreté s'étend. Pour y faire face, la pression fiscale pèse de plus en plus, tandis que l'insécurité grandit. Les biens et les hommes circulent sans entraves, mais les êtres humains ne doivent pas devenir des marchandises.
C'est la raison pour laquelle, face à une crise structurelle que la politique décidée par la Commission européenne et appliquée par l'UMPS ne peut pas surmonter, il est nécessaire de changer de politique. Ce changement ne passe pas par un repli sur soi, mais par la maîtrise d'un destin que l'on choisit et d'un avenir que l'on construit chaque jour. Marine Le Pen et le Front national proposent de retrouver la maîtrise de notre destin. Cette maîtrise passe par la représentation de tous les habitants de notre nouvelle Région face à la logique néolibérale de l'UMPS. Et c'est fort de ces convictions que je siégerai au Conseil régional aux côtés de Marine Le Pen et des représentants du Front national, élus des départements de l'Aisne, du Pas-de-Calais, du Nord, de l'Oise et de la Somme
André Murawski - 14 décembre 2015
Conseiller régional
Conseiller municipal d'Ostricourt
REFLECHISSEZ BIEN !
En se retirant de la course, le PS a volontairement privé ses électeurs de représentants dans une région de 6 millions d'habitants. Les adhérents et sympathisants du PS ne seront donc pas représentés. Est-ce cela, la démocratie ? Je ne le crois pas.
Le candidat de l'UMP, Xavier Bertrand, est un néolibéral qui ferait peser de graves menaces sur les services publics, et aussi, par conséquent, sur les personnes en difficulté sociale. Réfléchissez bien !
Marine Le Pen seule souhaite une région proche de ses habitants, à l'écoute de leurs difficultés, et protectrice.
Alors, le dimanche 13 décembre, n'hésitez pas. Entre la casse sociale et la protection sociale, un seul choix s'impose : la liste " Une région fière et enracinée " et Marine Le Pen.
André Murawski - 11 décembre 2015
PHILIPPE EYMERY EXPOSE LE PROGRAMME REGIONAL DE MARINE LE PEN A OSTRICOURT
Le mercredi 9 décembre 2015, Philippe Eymery, tête de liste dans le Nord de la liste " Une région fière et enracinée " conduite par Marine Le Pen, est venu à Ostricourt pour un point presse destiné à exposer le projet du Front national pour la région Picardie Nord Pas-de-Calais.
De gauche à droite : André Murawski, Patricia Plancke, Philippe Eymery et Julie Ducrocquet - Photo La Voix du Nord
Entouré par Patricia Plancke, conseillère municipale à Provin et animatrice du canton d'Annoeullin, et par Julie Ducrocquet, candidate dans le canton de Templeuve aux dernières élections départementales, Philippe Eymery a aussi soulevé la question du retrait de la liste du PS dans la région.
La Voix du Nord - 10 décembre 2015
Ce retrait pose en effet un problème dans notre République car, pour la première fois, les électeurs du PS n'auront aucun élu pour les représenter dans une région de 6 millions d'habitants. Un vrai déni de démocratie !
Pour ce qui me concerne, j'ai fait connaître mes craintes pour le cas où l'UMP gagnerait cette élection. En effet, l'exemple du département du Nord montre combien certains services publics sont mis à mal et le candidat de l'UMP n'a jamais caché ses convictions ultra libérales. Que deviendront les défavorisés ? Le risque de casse sociale existe. Sans même parler de l'écologie, absente du programme de l'UMP.
Une raison de plus pour voter massivement dimanche pour Marine Le Pen et la liste " Une région fière et enracinée ".
André Murawski - 11 décembre 2015
SCORE HISTORIQUE DU FN AU PREMIER TOUR DES ELECTIONS REGIONALES A OSTRICOURT
Le résultat du premier tour des élections régionales à Ostricourt a été sans appel : 18 % pour la liste du candidat néolibéral Xavier Bertrand, près de 25 % pour la liste du candidat socialiste Pierre de Saintignon, et près de 42 % pour la liste " Une région fière et enracinée " conduite par Marine Le Pen.
La Voix du Nord - 7 décembre 2015
Le choix des électeurs ostricourtois est significatif. L'UMPS est clairement rejeté. Le PS parce qu'on connaît son bilan calamiteux dans la région Nord Pas-de-Calais : Chômage, paupérisation, pression fiscale, laxisme, insécurité... L'UMP parce que le président du Conseil départemental du Nord, Jean-René Lecerf, neuf mois après son élection, a déjà mis à mal plusieurs services publics dans le Nord : Service départemental d'incendie et de secours, collèges, subventions de la Maison départementale des Personnes Handicapées à certains établissements d'enseignement... Mais Xavier Bertrand inquiète davantage.
La Voix du Nord - 8 décembre 2015
Les principales déclarations de Xavier Bertrand sont en effet les suivantes :
- Diminuer les effectifs des trois fonctions publiques ;
- Recourir à des contrats de droit privé pour les fonctionnaires n'appartenant pas à des ministères régaliens ;
- Imposer trois jours de carence dans la fonction publique ;
- Sortir définitivement des 35 heures ;
- Baisser le coût du travail ;
- Passer à un système mixte de retraite par capitalisation et répartition ;
- Repousser l'âge de la retraite pour tous à 65 ans.
Quand on connaît les échecs que Xavier Bertrand a connus lorsqu'il était ministre du travail (et qui lui ont valu le sobriquet de ministre du chômage), mais aussi la situation de l'emploi dans sa ville de Saint-Quentin (le taux de chômage dans la zone d'emploi de Saint-Quentin était de 16,5 % au troisième trimestre 2013), on frémit quand on l'entend expliquer qu'il veut remettre la région au travail !
Pourtant, le " socialiste " Pierre de Saintignon s'est désisté en faveur de Xavier Bertrand, privant ainsi volontairement les électeurs de gauche de toute représentation au Conseil régional. Autant dire qu'il lui a signé un chèque en blanc !
La Voix du Nord - 9 décembre 2015
Face à cette situation de refus de représentation de l'électorat de gauche par le candidat socialiste d'une part, et face au risque de mise en oeuvre d'un programme de casse sociale par le candidat UMP d'autre part, certains à Ostricourt n'ont trouvé qu'à ergoter à propos de la signature d'un procès-verbal par le suppléant plutôt que par le titulaire. On croit rêver !
Alors, pour protéger la région Picardie Nord Pas-de-Calais et garder leur dignité aux femmes et aux hommes qui l'habitent, le seul recours consiste à voter massivement pour la liste " Une région fière et enracinée " conduite par Marine Le Pen.
André Murawski - 10 décembre 2015